L'antisémitisme, l'arme des forces antichrétiennes

Publié le par Clément LECUYER

 Dans toutes leurs entreprises impérialistes et révolutionnaires, les juifs ont employé pour tromper les peuples une tactique caractéristique, utilisant des concepts abstraits et vagues, des expressions au sens élastique qui peuvent se comprendre de manière équivoque et s'appliquer de différentes façons. Sont apparus par exemple les concepts d'égalité, de liberté, de fraternité universelle, et surtout celui d'antisémitisme, ce dernier terme d'une élasticité énorme, une abstraction à laquelle ils donnent des sens différents et des applications diverses, mais tendant à enchaîner les peuples chrétiens et gentils dans le but de les empêcher de se défendre contre l'impérialisme judaïque et contre l'action destructrice de ses forces anti-chrétiennes. La manoeuvre trompeuse peut s'analyser comme suit :

1. Premier stade. Obtenir la condamnation de l'antisémitisme par d'habiles campagnes et des pressions en tous genres, insistantes, coordonnées et énergiques, exercées par des forces sociales contrôlées par le Judaïsme ou exécutées par ses agents secrets infiltrés dans les institutions chrétiennes, Eglises et /ou Etats.

 Pour accomplir ce premier stade et obtenir des dirigeants religieux et politiques des pays chrétiens qu'ils se plient l'un après l'autre à condamner l'antisémitisme, ils donnent à celui-ci un sens initial le représentant :

1) comme une discrimination raciale du même type que celle exercée par les blancs de certains pays contre les noirs, ou par les noirs contre les blancs. Ils présentent aussi l'antisémitisme comme un racisme qui exercerait une discrimination contre les autres races comme inférieures, ce qui est contraire aux enseignements du martyr du Golgotha qui établit et affirma l'égalité des hommes devant Dieu ;
2) simplement comme une haine du peuple juif, contredisant la maxime sublime du Christ : "Aimez-vous les uns les autres";
3) comme l'attaque et la condamnation du peuple qui donna au monde Jésus et Marie. Cet argument là, les juifs l'ont appelé "l'argument irrésistible" !

etoile_david.gif En donnant au départ à l'antisémitsme ces trois sens ou quelques autres analogues, les juifs ou leurs agents infiltrés dans les pays chrétiens ont réussi à surprendre la charité, la bonté et la bonne foi de nombreux gouvernants chrétiens et mêmes de membres de la hiérarchie religieuse, aussi bien de la Sainte Eglise Catholique que des Eglises protestantes et dissidentes, pour que, cédant à ces pressions si bien organisées autant qu'obscures et persistantes, ils formulent des censures ou des condamnations abstraites et générales contre l'antisémitisme, sans entrer en détail sur ce que l'on condamne réellement et sur ce que signifie cet antisémitisme censuré, en laissant donc imprécis et dans le vague ce qui fut réellement l'objet de la condamnation, avec le danger de laisser les juifs et leurs agents dans la Chrétienté comme seuls interprètes de si graves décisions.

 Lorsque les chefs religieux soumis à d'inavouables pressions ont au moins le soin de définir ce qu'ils entendent par cet antisémitisme qu'ils condamnent, le danger est moindre, car dans la condamnation sont alors précisés les termes que l'on condamne, par exemple la discrimination raciale ou la haine des peuples. Ainsi, même si les juifs ont ensuite l'audace de prétendre donner une interprétation extensive de l'antisémitisme pour étendre astucieusement et par tous les moyens le rayon d'action de la condamnation, il est plus facile de découvrir et de démontrer le sophisme dans toute son ampleur.

2. Deuxième stade. Après que les juifs ou leurs agents ont obtenu ces condamnations de l'antisémitisme, ils donnent à ce terme un sens très différent ce de celui qu'ils lui assignèrent pour en obtenir la condamnation. Seront dès lors antisémites :

Manipulation de l'antisemitisme pour faire taire les critiques contre Israëla) Ceux qui défendent leur pays contre les agressions de l'impérialisme judaïque, faisant usage du droit naturel de tous les peuples de défendre leur indépendance et leur liberté ;

b) Ceux qui critiquent et combattent l'action dissolvante des forces judaïques qui détruisent la famille
chrétienne et dévoient la jeunesse par la diffusion de fausses doctrines ou de toutes sortes de vices ;

c) Ceux qui, sous quelque forme que ce soit, combattent la haine et la discrimination raciale que les juifs se croient en droit d'exercer contre les chrétiens, bien qu'ils s'efforcent hypocritement de les cacher, et ceux qui, sous quelque forme que ce soit, dénoncent les méfaits, les délits et les crimes commis par les juifs contre les chrétiens, les mulsulmans et les autres gentils et qui se font les avocats d'un juste et mérité châtiment ;

d) Ceux qui démasquent le Judaïsme en tant qu'organe dirigeant du Communisme, de la Franc-Maçonnerie et des autres mouvements subversifs, et qui demandent que soient adoptées les mesures nécessaires pour empêcher leur action dissolvante au sein de la société ;

e) Ceux qui, d'une manière quelconque, s'opposent à l'action juive tendant à détruire la Sainte Eglise et la Civilisation chrétienne en général.

 

  Leur jeu malhonnête saute aux yeux. Ils obtiennent d'abord des censures contre un antisémitisme qu'ils identifient, soit comme une discrimination raciale, soit comme une manifestation de haine des peuples exercée contre les juifs, toutes deux contraires à la doctrine chrétienne, pour ensuite donner au vocable de nouvelles significations et tenter ainsi de lier des pieds et des mains ceux qui défendent la Sainte Eglise, leur nation, leur famille ou leurs droits naturels contre les agressions de l'impérialisme juif, et les empêcher de se défendre à ce si justre titre.

Pour ce faire, les forces israélites publiques et secrètes montent un tonitruant appareil de propagande et de lamentations, dénonçant bruyamment les antisémites, à savoir ceux qui font précisément usage de leurs droits de légitime défense. Ils s'époumonnent à affirmer que l'Eglise a condamné l'antisémitisme, et ils condamnent en son nom ces dirigeants (de mouvements) parce que, selon ce qu'ils en assurent, aucun croyant ne doit apporter son appui à cette oeuvre "antisémite" de défense des peuples, des familles et de la Sainte Eglise contre l'action révolutionnaire de l'impérialisme juif. C'est une manoeuvre grossière, mais qui réussit à désorienter et à semer la débandade, débilitant l'action des respectables leaders de ces mouvements qui ont pris la défense de leur nation et de la civilisation chrétienne. C'est la méthode la plus sure qu'ils ont conçue pour assurer le triomphe des révolutions judéo-maçonniques ou judéo-communistes.


[...] Ces tactiques ont en effet assuré le triomphe du Judaïsme ces derniers temps, et provoqué la catastrophe résultante qui menace le monde chrétien. C'est pourquoi cette question doit être étudiée à fond et méditée par tous, nous qui avons le devoir de défendre la Sainte Eglise et notre patrie contre l'impérialisme antichrétien que représente le Judaïsme moderne.

[...] Posons la simple question : que semblerait aux juifs si, sur la base du fait que l'Eglise condamna la haine entre les peuples, l'on était arrivé pendant la dernière guerre à la conclusion que ladite condamnation inclut la haine contre le peuple allemand, haine appelée par analogie anti-germanisme, pour ensuite déclarer illicite toute lutte contre les Nazis, ceux-ci étant allemands et le fait de les combattre étant alors une manifestation d'anti-germanisme précédemment condamnée ? Est-ce que les juifs auraient accepté un tel raisonnement, permettant, en jouant sur les termes, de déclarer intouchable l'Allemagne Nazie ?

 Devant un tel syllogisme, les juifs, à la manière de leur ancêtre Caïphe, auraient déchiré leurs vêtements en protestant contre ce criminel (?) jeu de mots, ce qui n'empêche pas les mêmes hébreux d'utiliser avec un tranquille cynisme ces mêmes équivoques pour empêcher les chrétiens de se défendre.

 Les juifs essaient actuellement de piéger la Sainte Eglise, comme auparavant ils posèrent des pièges au Christ Notre- Seigneur. Rappelons-nous combien de fois leurs dirigeants, les prêtres, les scribes et les pharisiens cherchaient à Le surprendre et Lui posaient des pièges pour essayer qu'Il se contredise, et pour Lui faire ainsi perdre son influence sur le peuple, ou pour essayer de Le placer dans une situation fausse qui leur permettrait de justifier son assassinat.

 Quelque chose de similaire a lieu aujourd'hui avec la Sainte Eglise, qui, ayant condamné le Judaïsme et les juifs [en tant que religion] à maintes reprises durant mille huit cents ans et ayant lutté contre eux avec tenacité et énergie durant mille cinq cents ans, doit plus que jamais éviter les pièges et les embûches que lui tendent les hébreux pour la faire se contredire elle-même, employant pour cela leurs agents dans le clergé pour la pousser à la faute au moyen de tromperies subtiles, pour lui faire condamner la doctrine et la politique des Pères de l'Eglise, de leurs Saintetés les Papes et des Conciles oecuméniques et provinciaux, qui durant tant de siècles, de manière répétée, condamnèrent les juifs comme ministres du démon, et condamnèrent aussi ceux qui dans le clergé les aidaient au préjudice de la Foi chrétienne.

> Extrait de l'excellent livre 2000 ans de complots contre l'Eglise, Maurice Pinay, paru en 1962 pendant le "concile" Vatican II et distribué à tous les évêques.