François n'aime pas l'Eglise catholique
Nous le savons : Il n'aime pas l'Eglise catholique comme elle est et comme elle était, il n'aime pas Rome, il n'aime pas nos coutumes, il déteste nos compatriotes évêques, il n'aime pas les religieuses cloîtrées (il a donc donné l'ordre de démanteler progressivement la clôture), il n'aime pas les trop dévots, il n'aime pas le catholicisme identitaire, il n'aime pas les messes en latin, il n'aime pas les luttes-marches-rosaires pro-life; pratiquement, il n'aime pas les catholiques. Il n'aime rien de rien sauf les extravagantes, superficielles idées libéral-pentecôtistes qu'il a dans la tête et qui ont déjà prouvé être en faillite; il aime le sentimentalisme, dans le sens proprement latino-américain, c'est à dire pas les sentiments mais leur représentation emphatique et théâtrale. Dans d'autres contextes on parlerait d'hypocrisie, si on ne savait pas que les sentimentalismes cachent des nerfs faibles plutôt qu'un bon cœur.
Mais surtout il n'aime pas les prêtres: le prêtre classique. Grandes accolades et bon ramadan aux imams, visites pastorales aux pasteurs évangéliques, baisers aux mains des rabbins, mais pour les prêtres catholiques que des coups de pieds dans les dents. Tous les matins! Et maintenant il les chasse même du restaurant de Sainte Marthe. Mamma mia, comme il les arrange chaque jour dès que le soleil se lève, dans ce qu'on fait passer pour des prêches et qui ne semblent parfois être que de la diffamation quotidienne, scientifique, systématique des prêtres qu'il devrait comme pontife encourager et protéger! Il les tiraille, les insulte, il se moque d'eux et les ridiculise devant tout le monde, les traite parfois de «pédophiles», de serviteurs idiots, de paillassons.
Il ne s'est incliné que devant deux prêtres, leur baisant littéralement mains et pieds: à cet entrepreneur du politiquement correct de gauche qu'est don Ciotti, et à un autre vieux prêtre de 90 ans connu pour son homosexualisme et pour avoir été le mégaphone de toutes les modes idéologico-cléricales du moment, du communisme au gender.