Ratzinger défend "le libéralisme catholique" : contradiction et hérésie flagrantes !
Benoît XVI a écrit une lettre au philosophe et sénateur italien Marcello Pera pour le remercier de la contribution apportée par son dernier livre, où est censé montrer que "la base du libéralisme se trouve dans la relation de la personne avec Dieu. " [sic !]
L'ouvrage, intitulé « Perché dobbiamo dirci cristiani. Il liberalismo, l'Europa, l'etica » (« Pourquoi devons-nous nous dire chrétiens. Le libéralisme, l'Europe, l'éthique »), contenant le message de l'usurpateur Ratzinger, a été présenté jeudi à Rome.
Après avoir reconnu que la lecture de ce livre était « passionnante », le l'abbé Ratzinger a souligné qu'il partageait les observations qui y sont faites, notamment « l'analyse sur l'essence du libéralisme à partir de ses fondements » qui montre qu'« à l'essence du libéralisme appartient son enracinement dans l'image chrétienne de Dieu : sa relation avec Dieu dont l'homme est l'image et dont nous avons reçu le don de la liberté ». [sic !]
L'abbé Ratzinger trouve également « très significative » l'analyse de Marcello Pera sur « les concepts liés aux dialogues interreligieux et interculturel ». L'apostat Ratzinger prêche une fois de plus l'apostasie. En effet, dire que le libéralisme.
Source de l'information: http://www.zenit.org/article-19557?l=french
> Encore une fois, en plus de la pratiquer au quotidien Ratzinger vient contredire l'enseignement de 2000 ans d'Eglise catholique.
Voici comment Mgr Delassus définit le libéralisme :
« Le libéralisme n’est pas une hérésie ordinaire, c’est l’hérésie propre, personnelle de Satan, puisqu’elle consiste, pour la créature, à usurper à son profit l’indépendance et la souveraineté qui n’appartiennent qu’à Dieu, de toute éternité, et dans l’ordre des temps à Notre Seigneur Jésus-Christ. (…) On voit par là en quoi le libéralisme moderne diffère de tout ce qui l’a précédé en fait de révolte et de péché. C’est le péché lui-même, le dernier terme et le plus haut degré du péché. Le libéralisme appelle “l’homme de péché”, il prépare les voies à l’Antéchrist. » (La Conjuration antichrétienne, 1910) "Suivre le courant", c'est à quoi se résument ces fameuses inventions et ces grandes fiertés du Libéralisme catholique."
"Le libéralisme "catholique" n'est autre chose, en effet, que l'esprit révolutionnaire cherchant à s'introduire dans l'Eglise elle-même". (L'américanisme et la conjuration antichrétienne, Société de Saint-Augustin, Desclée De Brouwer et Cie, Paris 1899, p. 223)
Le libéralisme, à tous ses degrés et sous toutes ses formes, a été formellement condamné ; si bien que, en outre des motifs de malice intrinsèque qui le rendent mauvais et criminel, il a contre lui, pour tout catholique fidèle, la suprême et définitive déclaration de l'Église qui l'a jugé tel et comme tel l'a anathématisé. Lors de la fameuse Déclaration des droits de l'homme, qui contient en germe toutes les folies du moderne libéralisme, le pape Pie VI, éclairé par le Saint-Esprit réprouva fermement ces erreurs. Plus tard, en 1832, Grégoire XVI publia son encyclique Mirari vos qui est la condamnation explicite du libéralisme. Bien sûr, le pape Pie IX fut un des plus célèbres pourfendeurs du libéralisme. Il le qualifiait comme une "idée absolument fausse du gouvernement social", "un délire", "une liberté de perdition" et le "fléau du siècle".
Le 18 juin 1871, Pie IX, répondant à une députation de catholiques français, leur parla ainsi :
« L'athéisme dans les lois, l'indifférence en matière de religion et les maximes pernicieuses, appelées catholiques-libérales, sont, oui, elles sont véritablement la cause de la ruine des États ; elles l'ont été de la perte de la France. Croyez-moi, le mal que je vous dénonce est plus terrible que la Révolution, plus terrible même que la Commune. J'ai toujours condamné le catholicisme-libéral et je le condamnerai encore quarante fois si c'est nécessaire ».
Dans le Bref du 6 mars 1873 adressé au président et aux membres du cercle de Saint-Ambroise de Milan, le souverain pontife s'exprime ainsi :
« Il ne manque pas de gens qui prétendent former une alliance entre la lumière et les ténèbres, et associer la justice avec l'iniquité à la faveur de ces doctrines appelées catholiques-libérales qui, basées sur de très pernicieux principes, se montrent favorables aux intrusions de la puissance séculière dans les affaires spirituelles, inclinent leurs partisans à estimer, ou, tout au moins, à tolérer des lois iniques, comme s'il n'était pas écrit que nul ne peut servir deux maîtres. Ceux qui agissent ainsi, sont en tous points plus dangereux et plus funestes que les ennemis déclarés, non seulement parce que, sans qu'on les en avertisse, peut-être même sans qu'ils s'en rendent bien compte, ils secondent les projets des méchants, mais encore parce que, en se renfermant dans certaines limites, ils se produisent avec quelques apparences de probité et de saine doctrine, qui hallucinent les amis imprudents de la conciliation et séduisent les personnes honorables qui auraient combattu l'erreur déclarée ».
Les condamnations de Pie IX contre ce "fléau" sont très nombreuses que ce soit dans des écrits ou dans des audiences. Ce Souverain Pontife comprit très bien le danger de "cette calamité ". Il rédigea alors un document officiel, public, solennel, d'un caractère général, universellement promulgué, et par conséquent définitif : le Syllabus du 8 décembre 1864. Même si le libéralisme n'est nommé que dans une seule de ces propositions, il est certain que la plupart des erreurs mises là au pilori sont des erreurs libérales qu'englobent le libéralisme tel qu'on l'appelle aujourd'hui :
Condamnation
-de la liberté des cultes (propositions 15e, 77 e et 78 e) ;
- du placet gouvernemental (propositions 20e et 28e) ;
- de la désamortisation (propositions 16e et 27e) ;
- de la suprématie absolue de l'État (proposition 39e) ;
- du laïcisme dans l'enseignement public (propositions 45e, 47e et 48e) ;
- de la séparation de l'Église et de l'État (proposition 15e) ;
- du droit absolu de légiférer sans Dieu (proposition 56e) ;
- du principe de non-intervention (proposition 63e) ;
- du mariage civil (propositions 73e et autres) ;
- de la liberté de la presse (proposition 79e) ;
- du suffrage universel comme source d'autorité (proposition 60e) ;
- enfin du nom même de libéralisme (proposition 80e).
A cette lecture, on constate que toutes ces hérésies, en plus du modernisme, "l'égoût collecteur de toutes les hérésies" (Saint Pie X),
Oui, sont aujourd'hui enseignées et pratiquées par l'Eglise dite "catholique" !! le LIBERALISME, QUELQU'IL SOIT ET DES SA BASE, EST UN GRAVE PECHE ! Ratzinger en défendant ce mythe de "libéralisme chrétien" associe les ténèbres et la lumière, chose impossible !
Pour en savoir plus : lisez les écrits de Mgr de Ségur et de Mgr Delassus sur le libéralisme !