"Laïcité positive": nouvelle HERESIE de Ratzinger !

Publié le par rémy

Blog de chelga :Chelga, Aux loups  En visite en France, Ratinger loue et encense le principe de laïcité... nouvelle hérésie du loup déguisé en agneau :

"Il me semble évident aujourd’hui que la laïcité en soi n’est pas en contradiction avec la foi. Je dirais même qu’elle est un fruit de la foi parce que la foi chrétienne était, dès le commencement, une religion universelle, donc pas identifiable avec un Etat et présente dans tous les Etats..."

Comment le Vicaire du Christ peut-il injurier le Christ dans de pareils propos aboluments contraire à tout l'enseignement catholique ? C'est impossible. Un hérétique ne peut pas être pape; une Eglise apostate ne peut pas être catholique !

Voici donc quelques extraits de condamnations de l'Eglise contre la laïcité
:


1. Saint Pie X condamne tout principe de laïcité (encyclique Vehementer Nos (11/02/1906)) qui est une  "thèse absolument fausse, une pernicieuse erreur".

http://pagesperso-orange.fr/thomiste/spiex.jpg... C'est pourquoi, Nous souvenant de notre charge apostolique et conscient de l'impérieux devoir qui nous incombe de défendre contre toute attaque- et de maintenir dans leur intégrité absolue les droits inviolables et sacrés de l'Eglise, en vertu de l'autorité suprême que Dieu nous a conférée, Nous, pour les motifs exposés ci-dessus, nous réprouvons et nous condamnons la loi votée en France sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat comme profondément injurieuse vis-à-vis de Dieu, qu'elle renie officiellement, en posant en principe que la République ne reconnaît aucun culte.

Nous la réprouvons et condamnons comme violant le droit naturel, le droit des gens et la fidélité due aux traités, comme contraire à la constitution divine de l'Eglise, à ses droits essentiels, à sa liberté, comme renversant la justice et foulant aux pieds les droits de propriété que l'Eglise a acquis à des titres multiples et, en outre, en vertu du Concordat.

Nous la réprouvons et condamnons comme gravement offensante pour la dignité de ce Siège apostolique, pour notre personne, pour l'épiscopat, pour le clergé et pour tous les catholiques français.

En conséquence, nous protestons solennellement de toutes nos forces contre la proposition, contre le vote et contre la promulgation de cette loi, déclarant qu'elle ne pourra jamais être alléguée contre les droits imprescriptibles et immuables de l'Eglise pour les infirmer...

2. Pie XI condamne la laïcité et oblige l'adoration du Christ-ROI :

"Aux états, la célébration annuelle de cette fête rappellera que les MAGISTRATS et les GOUVERNANTS SONT TENUS, tout comme les citoyens, DE RENDRE AU CHRIST UN CULTE PUBLIC ET DE LUI OBEIR; elle évoquera devant eux la pensée de ce dernier jugement où le Christ non seulement expulsé de la vie publique, mais encore négligé ou ignoré avec dédain, vengera sévèrement de telles injustices, car sa royauté exige que l’Etat tout entier se règle sur les commandements de Dieu et les principes chrétiens aussi bien dans la législation que dans la façon de rendre la justice et que dans la formation de la jeunesse à une doctrine saine et à une bonne discipline des moeurs"

"Il est de toute évidence que le nom et la puissance de roi, au sens propre du mot, doivent être attribués au Christ dans son humanité. C’est un dogme de foi catholique que le Christ..[a] un pouvoir législatif..judiciaire..exécutif..sur tous les hommes..les États.."

... Si quelqu'un oserait prétendre,ce qu'à Dieu ne plairait point, que Notre Seigneur Jésus Christ ne doit plus régner sur la societé, la famille et/ou la personne humaine,
qu'il soit anathème !

Au Jugement final, le Christ accusera ceux qui l'ont expulsé de la vie publique et tirera de pareil outrage la plus terrible vengeance.


(Pie XI, Lettre encyclique Quas primas instituant la Fête de la Royauté du Christ)


Saint Grégoire le Grand :

  "Il y a des hérétiques qui nient la divinité de Notre Seigneur, d’autres qui nient l’humanité de Notre Seigneur, et d’autres encore qui nient la royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
"
(homélie X (ou 10) sur les péricopes évangéliques, 6)