François, un apostat pro-communiste à la tête de l'Eglise montinienne

Publié le par Clément LECUYER

Le 1er juillet 1949, le Pape Pie XII, par l'intermédiaire de la Sacrée Congrégation du Saint-Office, portait un décret frappant d'excommunication ipso facto tout baptisé professant ou encourageant le communisme :

 "Les fidèles qui professent la doctrine matérialiste et antichrétienne des communistes et surtout ceux qui la défendent ou la propagent encourent de plein droit, comme apostats de la foi catholique, l'excommunication spécialement réservée au Saint-Siège. [..]

  Les baptisés qui professent le communisme et qui le propagent sont apostats et par conséquent excommuniés... les chrétiens qui apportent une aide quelconque aux organisations ou aux partis communistes sont à exclure de la pratique des sacrements."

Son prédécesseur, Pie XI, avait déjà admirablement réfuté et condamné le système communiste :

 "Le communisme athée s'est montré au début, tel qu'il était, dans toute sa perversité, mais bien vite il s'est aperçu que de cette façon il éloignait de lui les peuples: aussi a-t-il changé de tactique et s'efforce-t-il d'attirer les foules par toutes sortes de tromperies, en dissimulant ses propres desseins sous des idées en elles-mêmes bonnes et attrayantes. [...] Veillez, Vénérables Frères, à ce que les fidèles ne se laissent pas tromper. Le communisme est intrinsèquement pervers, et l'on ne peut admettre sur aucun terrain la collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne." (Encyclique Divini Redemptoris, 19 mars 1937)
 

 Or, celui qui est présenté au monde entier comme le Vicaire de Notre-Seigneur (!!!) n'a jamais caché sa sympathie et même son soutien envers le communisme, cette "peste mortelle qui s'attaque à la moelle de la société humaine" (Léon XIII).

 Dans son livre Le Pape politique, publié en 2017, le journaliste américain George Neumayr présente ses connaissances concernant les influences Communistes sur François. Voici ci-dessous quelques extraits d'une entrevue réalisée par Maike Hichson, journaliste pour le site  Life Site News

 

Maike Hickson : Tout au long de votre livre, vous faites référence à des relations du Pape François avec le Communisme ou avec certains Communistes en particulier. Pourriez-vous nous décrire en général son attitude envers le Communisme ?

George Neumayr : Il a tendance à parler du Communisme en termes bénins. Il a déclaré à la presse Italienne qu'il n'était pas "offensé" si les gens l'appellent Communiste puisqu'il a "rencontré de nombreux Marxistes dans ma vie qui sont de bonnes personnes". Une autre fois, il a dit : "Je dois dire que les Communistes ont volé notre drapeau parce que le drapeau du pauvre est Chrétien". Les Papes passés, qui ont reconnu le pouvoir du Communisme pour asservir les pauvres, auraient trouvé de tels commentaires très déroutants.

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